Voyance 2026 : les ressentis de Claudine, médium et astrologue

Voyance 2026 : les ressentis de Claudine, médium et astrologue

Chaque fin d’année, je prends un temps de silence.
Je ferme les yeux, je me relie à la Terre, aux mouvements du ciel, et j’écoute.
Pas pour prédire, mais pour comprendre ce que le monde cherche à nous dire.

2026 s’annonce dense, exigeante, pleine de contrastes.
Je ne livre pas ici des certitudes, mais des ressentis : des images, des impressions, des courants d’énergie que je perçois dans le champ collectif.
C’est une lecture du monde à travers mes sens de médium et d’astrologue, un regard intérieur posé sur l’année qui vient.

Je vous invite à la lire comme on écouterait une musique : non pour y chercher la peur ou la promesse, mais pour reconnaître les notes qui résonnent en vous.

Ce que je ressens

Je sens 2026 comme un matin d’après-tempête.
L’air est plus dense, comme si la Terre retenait encore son souffle.
Tout paraît à la fois fatigué et neuf : les continents, les cœurs, les regards.
L’humanité avance, ébranlée, mais éveillée.
Nous ne savons plus vraiment où nous allons, mais nous savons que nous ne pouvons plus retourner en arrière.

Quand je ferme les yeux, je vois des veines de lumière sous la croûte du monde, prêtes à remonter.
Partout, la Terre cherche son nouvel équilibre.
Le bruit du monde, guerres, crises, colères recouvre cette pulsation, mais elle existe, stable, régulière.
Elle dit : “Tenez bon. Je vous remets à votre place dans le vivant.”

Je ressens aussi un grand tri vibratoire.
Ce qui n’est plus aligné se défait, dans les vies personnelles comme dans les structures globales.
Beaucoup d’entreprises, d’États, de relations s’effondrent non par hasard, mais parce qu’ils reposaient sur le mensonge ou la peur.
L’année 2026 agit comme un révélateur : elle ne détruit pas, elle met à nu.

La Terre parle

Les cataclysmes que nous redoutons tempêtes, incendies, séismes sont la voix d’un être vivant.
La planète ne se venge pas : elle se soigne.
Elle expulse les excès, les toxines, les déséquilibres accumulés.
Chaque dérèglement climatique est un spasme de guérison.

Dans certaines régions, la chaleur sera extrême, ailleurs, l’eau submergera les terres.
Mais dans cette désorganisation, la Terre réapprend sa propre harmonie.
Je sens une intelligence derrière les secousses, une conscience bien plus vaste que la nôtre.
Quand je m’y relie, je perçois de la douceur, pas de la colère.

Les humains et la fatigue du monde

L’humanité, elle aussi, tremble.
Nous avons atteint le point de saturation : trop d’informations, trop de peur, de doutes et trop d’urgences.
Le mental collectif ne suit plus.
2026 impose une décélération forcée.

Je vois des foules silencieuses, des villes épuisées, des nations qui se cherchent un centre de gravité.
Beaucoup ressentiront un besoin viscéral de vérité.
Les apparences ne suffiront plus : les gens voudront du réel, du concret, du vrai.

Ce sera l’année des décisions tranchées : quitter, recommencer, épurer.
Les relations fondées sur l’intérêt tomberont, les collaborations sincères s’épanouiront.
La survie ne passera plus par la force, mais par la cohérence.

Les guerres visibles et invisibles

Je sens toujours la tension du monde, mais elle se déplace.
Moins de grandes guerres spectaculaires, plus de conflits invisibles : informationnels, énergétiques, économiques.
Des nations s’affrontent à coups de données, d’intelligence artificielle, d’influence psychologique.
Les armes changent de forme, mais la peur reste la même.

Et pourtant, même dans ce champ de force, je ressens une fissure dans le mur : la conscience collective commence à percevoir le mensonge.
Les populations ne croient plus si facilement aux récits officiels.
Des voix se lèvent, calmes, lucides, exigeant de la transparence.
C’est la première lumière d’une ère nouvelle.

L’économie du vivant

Je vois le système économique mondial basculer de la vitesse vers la valeur.
Les grandes fortunes sans âme s’effriteront, les structures locales renaîtront.
Les mots “durable”, “solidaire”, “éthique” cesseront d’être des slogans pour redevenir des nécessités.

2026 marquera le début d’un mouvement de retour vers la terre : produire, cultiver, réparer, transmettre.
L’argent circulera différemment.
Moins de profits rapides, plus d’échanges conscients.
Le vrai luxe redeviendra le temps, la santé, la relation.

Ce que je ressens, c’est une économie vibratoire : les projets portés par une intention juste trouveront naturellement leur prospérité, les autres s’éteindront sans bruit.

Les grandes secousses et la lumière

Je vois encore beaucoup de bouleversements.
Des secousses politiques, économiques, humaines.
Certaines régions connaîtront des tensions fortes, des effondrements, des colères.
Mais au lieu d’y voir la fin, je vois un tri, un réalignement.

Les catastrophes ne sont pas des malédictions.
Elles sont des rappels.
Je les perçois comme des signaux d’une conscience plus grande qui tente de nous rendre attentifs.
Quand la Terre tremble, elle dit : “Regardez ce que vous avez oublié.”

Je ressens ce passage comme un exercice d’honnêteté collective.
Ce que nous n’avons pas voulu voir se rend visible.
Ce que nous avons bâti sur la peur se fissure.
Et dans ces fissures passe la lumière.

Je ne crois pas que le monde s’écroule ; je crois qu’il s’allège.
Les anciennes structures s’effondrent pour faire place à autre chose : des sociétés plus locales, des réseaux d’entraide, une spiritualité incarnée.
L’ancien monde crie parce qu’il sait qu’il doit céder.

Ce que je ressens, l’énergie du moment

Ce que je ressens dans le champ collectif, c’est une alternance entre le chaos et une douceur inattendue.
Comme si, derrière chaque crise, un élan de beauté surgissait : un geste, une solidarité, une invention.
La lumière se glisse partout où l’ombre se montre.

L’énergie de 2026 est celle d’un réveil lucide.
Plus de romantisme spirituel, plus d’attente d’un grand sauveur.
Les consciences mûrissent.
On comprend que le changement n’est pas au-dessus de nous, mais à l’intérieur.

Je sens aussi une immense compassion prête à naître.
Les années d’épreuves ont ouvert le cœur collectif.
Beaucoup se surprendront à aider, à écouter, à pardonner sans raison.
C’est la vibration la plus forte de cette année : le retour de la bonté ordinaire.

Les nouvelles âmes

Je vois arriver des âmes d’une grande pureté.
Elles s’incarnent dans des enfants très jeunes, mais aussi dans des adultes qui changent soudain de trajectoire.
Elles ne cherchent pas la gloire ; elles portent simplement la clarté.

Elles rappelleront ce que nous avons oublié : la simplicité, la tendresse, la foi en la vie.
Leur regard traversera les mensonges, sans colère.
Elles ne lutteront pas contre l’ancien monde : elles le rendront inutile.

Et pendant qu’elles s’installent, d’autres âmes s’en vont paisiblement, discrètement.
Elles ont accompli leur tâche : tenir la lumière pendant les années sombres.
Leur départ libère l’espace pour les bâtisseurs du nouveau cycle.

Le féminin en marche

Je sens partout monter la présence du féminin.
Pas une revanche, pas un combat, mais une restauration.
C’est l’énergie qui répare sans bruit, qui rassemble, qui prend soin.
Elle s’invite dans la politique, dans la science, dans la parole publique.

Les hommes sensibles la reconnaîtront en eux : besoin d’écoute, refus du conflit, aspiration à la paix.
Ce féminin-là n’appartient à aucun genre.
C’est la conscience du vivant qui cherche l’équilibre.

Les solutions viendront de cette vibration : celle de l’empathie, du dialogue, de la lenteur assumée.
C’est elle qui guérira les systèmes épuisés.
Le futur se tisse dans le soin, pas dans la domination.

La lumière du silence

Je ressens que le rôle des médiums change.
Nous ne sommes plus des guetteurs du futur, mais des traducteurs du présent.
Nos perceptions servent à réaligner, pas à prédire.

De plus en plus de personnes ressentiront des signes : rêves, intuitions, pressentiments.
L’invisible devient familier.
Mais il réclame une éthique du cœur : plus on est pur d’intention, plus le message est clair.

La voyance s’épure, comme tout le reste.
Elle devient un art d’écoute, un espace de respiration.
Dans un monde saturé de bruit, la vraie guidance viendra du silence.

Le message pour 2026

Quand je me relie à l’année, trois mots me viennent : effondrement, épure, renaissance.
Tout ce qui est faux tombe, tout ce qui est juste s’allège, tout ce qui est vrai renaît.

Je vois des vies se réinventer : des gens quitter des métiers, des villes, des habitudes, pour se rapprocher de leur vérité.
Je vois aussi des cœurs se rouvrir après de longues solitudes.
Ce que 2026 propose, c’est un tri, pas une perte.

Et sous ce grand mouvement, une force immense agit : celle de la lumière qui refuse d’abandonner le monde.
Elle circule dans les gestes simples, dans la patience, dans l’amour discret.
Elle ne fait pas de bruit, mais elle gagne du terrain.

Ce que je crois

Je crois que 2026 marquera la fin de l’oubli.
Nous nous souviendrons de qui nous sommes : des êtres de conscience incarnée.
Nous comprendrons que la paix n’est pas une promesse, mais une pratique.
Que l’amour n’est pas un refuge, mais une discipline.

Malgré les secousses, je sens la lumière s’ancrer.
Elle n’est plus au-dessus, elle monte du cœur de la Terre et du cœur des humains.
Et je crois, profondément, que même au plus fort du chaos, le vivant sait toujours où il va.

Claudine Kanditel